La jeune fille du voisin d'a coté.

Publié le par patrick dabard

Elle n’était vraiment pas farouche     

La jeune fille du voisin d’à côté,

Elle faisait pas la fine bouche,

Se laissait facilement bécoter.

 

Elle était comme une hirondelle,

Tournoyant au-dessus de nos coeurs,

Lorsqu’on étaient tout auprès d’elle,

On avaient un moral de vainqueur.

 

Nous étions tous tombés amoureux

De sa charmante petite frimousse,

De ses seins déjà si généreux,

Qui avaient la douceur de la mousse.

 

Nous étions des héros triomphants,

Et le vent de l’amour salutaire

Dans les voiles de nos rêves d’enfants,

Nous poussait vers des îles de mystère.

 

La nuit venue dans nos chaumières,

Le sommeil était doux comme avril,

Elle se glissait sous nos paupières,

Pour entrer dans nos rêves juvéniles.

 

Elle n’était vraiment pas farouche

La jeune fille du voisin d’a côté,

J’ai encore le goût à ma bouche

Des baisers aux saveurs de l’été.

         

                      

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Doux parfums de cheveux au vent et de baisers sucrés...
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